La pensée unique sur la conception entraîne obligatoirement un dénigrement et une apologie de la "vie".

En effet, il est inconcevable que l'on insiste, le cul serré, pour pouvoir satisfaire à un conditionnement sous préservatif d'une pensée dont la résultante ne reflète qu'une éjaculation sans extemporanée.

A fortiori, j'entends que les femmes puissent avoir une fatuité de décider où et quand, l'enfantement doit avoir lieu.

Or, je ne vois et je n'entends que c'est au bon vouloir de celles-ci. Refusant, pour certaines à une allocation pour subvenir à l'enfance sous prétexte que c'est un handicap ou une aliénation car elle suffit à la coupe de son partenaire ou de la société. Mais alors, donner la vie est une aliénation puisque l'on suit un cycle ?

Doit-on penser que la tare que colportent certaines personnes de la gente féminine issues d'une classe sociale dont le défini hiérarchise, ne devrait pas être transmise ?

Il est bon de dire quand même que la femme, a la faculté au détriment du physique, de suffire à l'esprit si ce n'est des sentiments.

Que de surcroît, il serait bon de clarifier, au grand dam des esprits frustrés, que l'on ne peut décider de la nature et qu'en l'occurrence, à la faveur du saint esprit, il serait bon d'enfanter pendant la période destinée et non pas à plus de quarante ans, quand les dents se font plus rares.

A moins que l'on jette une perspective sur le papier, que la vie prenne son enfantement dans un produit de consommation usuel ?

Bien qu'elles sussent faire entendre des droits, il n'en est pas moins un devoir de penser et non d'aller se réfugier au sein d'une pensée dont le dessein se rattache à la domination.

Qu'il est un défini de l'ordre des médecins qui s'inquiète en la matière du nombre d'avortements (+ de 300 000), alors que les conditions permettent aujourd'hui, de satisfaire à toutes les exigences.

Ne serait-ce pas judicieux d'ailleurs, par cet éclairage, de faire payer les avortements, au regard des contraceptions, en soutenant que c'est un "produit de confort" (sauf cas exceptionnels), ce qui donnerait un avantage de remboursement à ceux dont l'handicap est certain ?

A votre gré, que dis-je, à votre gracile gray sur green.

Robert paris .

Propos au regard de l'émission de France 3 en date du 25 novembre 2008 après le journal de 23 heures.