Il est sous l’effet d’une plume, le pouvoir de faire voler quelques mots qui sous le joug de l’encre, de jeter une ancre dans le cœur de chacun.
Encore faut-il que l’on est la capacité de s’amarrer à des valeurs et qu’aucun trompe l’œil que l’on considère comme un mirage soit sur le rivage.
Regardez le monde, vos usages ou autres, vous, vous rendrez compte que le paysage qui vous entoure fait profit de votre regard à demi-mot et de vos maux. Alors, on attend noël pour parfumer vos désirs en parsemant quelques flocons de neige pour glacer et fixer les envies qui fleuriront au printemps pour dessiner l’avenir que les abeilles porteront de fleurs en fleurs pour enfanter et nourrir vos pensées afin d’entrevoir le bonheur. A la bonne heure, vos souhaits dérangeront ou bousculeront peut-être le parterre et l’espace au point que le langage sera sûrement dérangé. A moins que les feuilles de vos pensées à l’automne se déposent au sol, ce qui arrive fréquemment suite à un coup de vent qui évente la teneur de vos pensées. Il en résultera qu’elles nourriront en silence la terre en s’alliant avec celles qui jonchent au sol pour donner un fruit à vos détriments.
Un rudiment qui ne ment pas pour un érudit, mais qui prédit sur le susdit.
Robert-Paris.